Archive d'auteur pour : Oyonx_O2275
A propos de Kofnoja Karolinux
Cet auteur a déjà écrit sa bio.
A ce propos, disons juste que nous sommes fiers que Kofnoja Karolinux ait rédigé 83 entrées.
Entrées par
1970 – 1985
« Mon bonheur c’est de changer de peau, faire rire un soir, pleurer le lendemain. Je ne supporte pas de me sentir épinglé comme une photo sur un mur. » (Charles Denner)
1964 – De Jessua à Godard
Les Pieds Nickelés de Jean-Claude Chambon, Filochard Mata Hari, agent H 21 de Jean-Louis Richard, Soldat#1 L’Aube des damnés de Ahmed Rachedi, la narration Les plus belles escroqueries du monde : Le grand escroc de Jean-Luc Godard, l’escroc Compartiment tueurs de Costa-Gavras, Bob La Vie à l’envers de Alain Jessua, Jacques Valin
1964 – Maître Puntila
Maître Puntila et son valet Matti. Mise en scène de Georges Wilson. D’après l’œuvre de Bertolt Brecht. TNP Théâtre de Chaillot. Charles Denner interprète Matti.
1984 – La dernière révérence
Après un ultime one man show théâtral dans le Marionnettiste de Lodz (1984) de Gilles Ségal et deux dernières apparitions dans Golden Eighties (1985) de Chantal Akerman, et l’Unique (1986) de Jérôme Diamant-Berger, Charles Denner, gravement malade, se retire. Il obtint deux nominations aux Césars, l’une en 1977 (meilleur acteur dans un second rôle dans […]
1977 – L’Homme qui aimait les femmes
Les personnages qu’il affectionne sont ceux que dévore une obsession obscure. Bien qu’il excelle également dans le registre du pur comique (Robert et Robert, 1978, de Claude Lelouch), il préfère l’ambiguïté. Et c’est donc François Truffaut qui, neuf ans après La mariée était en noir, lui offre en 1977 un rôle à la mesure de […]
Servir les personnages plus que jouer
Dévoué à la cause de ses personnages jusqu’à oublier tout le reste (« Je suis habité par une monomanie »), Charles Denner est un artisan de l’émotion humaine. Tantôt maître chanteur (Mado, 1976, de Claude Sautet), tantôt père déchirant (Le vieil Homme et l’enfant, 1966, de Claude Berri), tantôt dératiseur puceau jusqu’à sa rencontre de Bernadette Laffont […]
1963 – premier rôle pour le premier film d’Alain Jessua
En 1963, Alain Jessua alors parfaitement inconnu lui confie son second premier rôle dans La Vie à l’envers, où on le retrouve, traduisant à merveille le lent glissement d’un solitaire vers l’internement à vie. «Demain je commence «La Vie à l’envers», un film que va réaliser Alain Jessua, un jeune metteur en scène qui a […]
1960 – De Gori à Landru
Sa carrière d’acteur le révèle au théâtre, quand Claude Chabrol tombe sous le charme de la composition qu’il donne du personnage de Gori (Hermann Göring) dans La Résistible Ascension d’Arturo Ui de Bertold Brecht monté en 1960 par Jean Vilar et Georges Wilson au TNP. C’est en 1962, après un casting, qu’il lui proposera le […]
1946 – première apparition à l’écran
Il débute certainement au cinéma en 1946 dans Der Ruf tsum Leben (Rappel à la vie), un court métrage de Maurice Wolf (Saint-Lou) et Élie Davidson dans lequel il apparaît sous le costume d’un soldat allemand. Ce film en yiddish non sous-titré fut restauré ensuite par le Centre national du cinéma. Il fut la première […]